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fuckingweek
5 février 2013

que dire d'elle

 

 

 

Elle me plait, et ceux qui me connaissent savent que c’est déjà beaucoup.

Je ne la connais pas vraiment, mais est-ce  réellement important ?

Elle est là, assise à la terrasse du Riche, les yeux rivés sur sa montre, quoi de plus normal vu mon retard.

J’arrive par derrière pour la surprendre et faire mon petit effet, raté, elle se retourne et me voit.

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Après un bref échange de politesse, elle demande la raison de mon retard.

-« Je devais récupérer un truc chez quelqu’un.. »

Je reste vague, ma réponse lui convient.

J’enchaine immédiatement en la remerciant de m’avoir attendu, tout en n’omettant pas de la complimenter sur sa beauté.

Elle me sourit encore, et cette fois le contact est établi, « allo Houston..». 

-« Tu veux faire quoi ce soir ? » Me lance-t-elle.

Te prendre tout de suite et maintenant !, voilà ce que j’aurais dû répondre dans un monde parfait.

-« J’ai repérer une cave à vins en arrivant,  si tu veux on  prend une bouteille, on verra bien après »

Elle acquiesce d’un mouvement de tête et ajoute :

-« T’aurais pas une idée derrière la tête ? 

-Une idée, seulement, mais  que  vas-tu chercher là ? C’est tout un plan que j’ai, on achète une bouteille de vodka et non de vin, que l’on ira boire à mon hôtel, agrémenter de quelques traces de cocaïne, d’où résultera un long échange verbal et improductif. »

Elle ne me répond pas, roule des yeux et me dévisage, je paierais cher pour comprendre ce qui se passe dans cette jolie tête.

-« Ok, ça me va.

- parti ? »

Elle se lève, je la suis, on s’arrête quelques instants pour acheter la vodka.

Nouvelle halte pour chopper une boite de capote, nature, je n’aime pas trop que ma bite sente la fraise.

Nous arrivons devant l’hôtel et entrons. Je monte les escaliers quatre à quatre, elle m emboite le pas.

Une fois dans la chambre j’attrape deux verres presque propres, sert la vodka et repose les verres sur la table de salon.

-« et maintenant ? » Me demande t elle

-« Juste un dernier petit réglage et je suis à toi »

Je sors mon p’tit sachet de cocaïne et verse  sur la table de quoi faire  trois  lignes chacun.

Je commence le premier, normal, elle enchaine derrière et tape les   les trois traces à la file.

Elle  a déjà changé, ses narines tremblent, le débit de ses mots augmente, je ne l’écoute plus de toute façon, je la regarde.

Elle est belle, vraiment belle, elle me casse déjà les couilles.

Je l’interromps en enfournant ma langue dans sa bouche, commence à lui malaxer  les seins avec fermeté.

Sa respiration s’accélère, sa main va droit sur ma queue qu’elle branle avec art.

Sa bouche se rapproche de mon gland pendant que je récupère mon verre de vodka.

Elle me suce vraiment bien, insiste juste ce qu’il faut sur mon gland, me mordille le paquet tout en me branlant, je prends la boite de capotes, en récupère une, la sort de l’emballage tout en enlevant sa bouche de sur mon gland, j’enfile la capote.

Son jean a volé depuis longtemps, elle me force à la regarder, me fixe et sort de sa bouche ces mots :

-« baise-moi »

Je m’exécute, écarte ses lèvres lentement avec mes doigts tout en entrant profondément ma queue en elle.

Je bouge doucement, j’aime ça mais je n’y suis pas, mes yeux lorgnent vers la table et les traces qu’il me reste.

Je continue quand même de la baiser, après quelques minutes de coït intense, elle jouit, du moins je crois, et moi, je fais semblant…

Je me lève et me déplace vers la petite table chope la paille et fais disparaitre les deux traces qui m’ont obsédées ces quinze dernières minutes. J’enchaine avec une vodka cul sec.

-« ça va ? »Demande-t-elle.

-« nickel »tout en me traçant un peu de coke sur la table, plus que tout ce soir je veux me défoncer et elle le voit bien.

Elle remet ses fringues, m embrasse furtivement, s’avance vers la porte, se retourne et me lance :

-« On s’appelle »

Je m’empresse de répondre « oui » sans lever la tête, tout en sachant que tous les deux nous ne le ferons pas.

Je tape mes traces, prend la bouteille de vodka et m’installe dans le lit…seul je bois pour oublier que je ne vis pas.

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